Postures

Qu’est-ce -que les postures ?

C’est la recherche des énergies dans le corps, c’est l’harmonisation de toutes nos fonctions anatomiques et physiologiques.

Le but ?

La posture juste. « Corps et intériorité »

La pratique des asanas permet à l’attention de se rassembler sur le corps, de revenir à son origine. Faire attention exige qu’on se sépare de tout ce qui pourrait nous distraire. L’originalité de la position du Yoga est contraire à toute performance, il ne s’agit pas de tenir des postures de plus en plus difficiles ou de favoriser la souplesse. L’asana se révèle comme un havre de paix lorsque nous ne cherchons pas à forcer nos limites mais à les observer tranquillement dans le silence des pensées.

L’intérêt des différents types de postures :

  • postures debout : assure la verticalité du corps, mobilité ostéo-musculaire.
  • postures assises : repérer la pose des ischions, facilite concentration et méditation.
  • postures dos au sol : action sur les nerfs rachidiens, détente ostéo-musculaire
  • postures à genoux : tonicité des membres inférieurs, verticalité du dos, humilité.
  • postures sur le ventre : travail abdominal, stimulation de la glande thyroïde et des reins.
  • postures d’équilibre : corporelles et mentales, attention sur les voûtes plantaires c’est « l’ancrage au sol ».
  • postures de torsion : entretien de la colonne vertébrale, « notre arbre de vie ».

« Avant la posture c’est déjà la posture. Après la posture, c’est encore la posture. » SHRI Mahesh

« Dans les asanas, identifier le corps à une fleur : baisser un bras, une jambe, comme un pétale de fleur tombe au sol, sans bruit, délicatement. » SHRI Mahesh

« Le point de départ et le point d’arrivée d’une posture est le nombril. » SHRI Mahesh

Au début, la synchronisation des phases du souffle avec celles de la posture est difficile. L’important est d’amener le mental à un silence intérieur, silence favorisé par la conscience permanente des sensations internes, des phases du souffle et surtout par la pause du souffle qui incite à l’immobilité des pensées.